La Louve aux Crocs d'Ivoire

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  • Extrait - La Louve aux Crocs d'Ivoire - Chapitre 0 Lire l'intégralité de La Louve aux Crocs d'Ivoire - Chapitre 0 (Extrait)

    Dernière modification le 28/06/2019
    Les royaumes étaient jeunes encore aux temps des faits contés en ce grimoire. Les montagnes s’élevaient en de grands cataclysmes, poussées depuis le dedans de la terre par les forces des titans bâtisseurs. L’astre d’or et les trois lunes concouraient à la création des forêts antiques où jouaient les premières âmes. De leurs rages les titans creusaient la terre qui elle seule décidait du lit de ses rivières, des abîmes de ses lacs que les pleurs des landes d’azur emplissaient. Ilhyya de son être créait les vastes terres, de sa force et de son amour engendraient les royaumes où, bien des âges plus tard, devaient vivre et s’étendre les peuples nés des dieux.
    Les anges immatures étaient encore ces titans bien plus hauts que les plus hauts sommets lorsque le sombre royaume à la Mort fut confié. La Belle Dame, aux baisers glacés, y régnait avec sagesse et justice, honorant chaque jour les vertus cardinales des huit piliers. Parmi les tempêtes et les rages...
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  • Extrait - La Louve aux Crocs d'Ivoire - Chapitre 1 Lire l'intégralité de La Louve aux Crocs d'Ivoire - Chapitre 1 (Extrait)

    Dernière modification le 28/06/2019
    Les flots devant lui se mirent à rugir, dressant mille faces d’écume. Les feux draconiques faiblissaient, le sang jaillissant de la terre se figeait en rocs noirs. Les runes s'élevaient, se liaient d'ombres et de noirceurs. Peu à peu elles s'éclaircirent et les brumes livrèrent aux yeux de Darshaan la vision d'un divin royaume infiniment différent des souvenances de son âme. La vaste terre s'était rompue d'infinis abîmes. Les océans primordiaux avaient enfanté les mers tumultueuses qui entouraient désormais chacune des quarante deux îles. D'immenses ponts liaient certaines d'entre elles où s'élevaient des palais titanesques. À l'image de la divinité maître de céans ils se dressaient, puissantes et massives forteresses ou lances de pierres aux tours fines filant droit vers des cieux clairs. En les landes d’azur volaient les vestiges de l'union, archipels célestes dont la course erratique lui offrait une lande ténébreuse, refuge de sa course. Il vit les monts habités et les forêts ancestrales emplies de bêtes, il vit les marais si tranquilles s’agiter et les plaines...
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